Imaginez votre cheval de loisir, plein d'entrain et de vitalité lors de vos escapades en pleine nature. Vous chérissez ces moments de partage et vous consacrez du temps et des efforts à son bien-être. Pourtant, malgré votre dévouement, vous remarquez que sa condition physique décline progressivement, qu'il semble plus las qu'auparavant ou que son état général se détériore. Auriez-vous envisagé que la source de ces problèmes puisse résider dans une erreur subtile, parfois involontaire, concernant son régime alimentaire ?
Le terme "cheval de loisir" désigne une vaste catégorie d'équidés dont l'activité physique est généralement modérée, sans participation régulière à des compétitions de haut niveau. Ces chevaux évoluent dans des environnements variés, allant du pré à l'écurie, et leur régime alimentaire doit être méticuleusement adapté à leurs besoins singuliers. Une nutrition équilibrée est primordiale pour préserver leur santé, leur dynamisme et leur moral.
Sous-estimer l'importance d'un fourrage de qualité
Le fourrage constitue la fondation de la nutrition équine, exerçant un rôle capital dans la santé et le bien-être du cheval. Il représente la source principale de fibres, indispensables à une digestion saine. La mastication prolongée du fourrage favorise la production de salive, qui neutralise l'acidité gastrique et contribue à prévenir les ulcères. De plus, la fermentation des fibres dans le gros intestin génère de l'énergie et maintient un microbiote intestinal équilibré. Il est donc essentiel d'accorder une attention particulière à la qualité et à la quantité du fourrage proposé à votre cheval.
Choisir un fourrage inadapté
- Qualité du foin : Un foin altéré, moisi, chargé de poussière ou contenant des éléments étrangers peut s'avérer préjudiciable à la santé du cheval. L'analyse visuelle (teinte, présence de moisissures) et olfactive (fragrance de renfermé) revêtent une grande importance. Une analyse chimique peut se révéler nécessaire pour évaluer sa valeur nutritive.
- Type de foin inapproprié : Un foin excessivement riche (luzerne pure) peut s'avérer inadéquat pour un cheval de loisir dont les besoins énergétiques sont modérés, favorisant ainsi la prise de poids et les risques de fourbure. Inversement, un foin trop pauvre (paille) ne suffira pas à satisfaire ses besoins nutritionnels minimaux.
- Varier les sources : Proposer diverses sources de fourrage (foin de prairie, foin de graminées, herbe de pâturage, ensilage) peut contribuer à diversifier l'apport nutritionnel et à stimuler l'appétit du cheval.
Offrir une quantité insuffisante de fourrage
Un apport limité en fourrage peut occasionner de sérieux problèmes de santé. Une réduction du temps de mastication accroît le risque d'ulcères gastriques, la production de salive étant alors insuffisante. Un manque de fibres peut perturber la digestion et favoriser les coliques. La frustration engendrée par la faim peut également induire des comportements anormaux tels que le tic à l'ours ou le grignotage de bois.
Ne pas assurer un accès continu au fourrage
Le cheval est un herbivore qui, dans son état naturel, consacre une part importante de sa journée à brouter. Il est donc primordial de lui assurer un accès quasi-permanent au fourrage. Si cela n'est pas réalisable, il est préférable de répartir les repas en plusieurs petites portions tout au long de la journée, de manière à reproduire au mieux le comportement naturel de pâturage. Cette pratique contribue à stabiliser le pH de l'estomac et à prémunir contre les troubles digestifs.
Conseils pratiques pour un fourrage optimal
- Évaluation de la qualité : Examinez visuellement le foin, humez-le, et faites-le analyser si besoin. Un foin de qualité doit être verdoyant, exhaler un parfum agréable et être exempt de moisissures et de poussière.
- Calcul des besoins : La ration de fourrage devrait représenter au moins 1,5 à 2% du poids vif du cheval quotidiennement. Par exemple, un cheval de 500 kg devrait ingérer entre 7,5 et 10 kg de foin par jour.
- Alternatives : En cas de foin de piètre qualité ou d'allergies, vous pouvez vous tourner vers des pellets ou des bouchons de foin, qui se caractérisent par leur simplicité de distribution et de dosage.
Sur-alimenter en concentrés
La sur-alimentation en concentrés constitue une erreur largement répandue chez les propriétaires de chevaux de loisir. Fréquemment motivée par une vision erronée de ce que représente un cheval "en pleine forme", cette pratique peut engendrer des répercussions néfastes sur la santé de l'animal. Les concentrés, riches en énergie et en amidon, doivent être administrés avec modération et uniquement lorsque les besoins du cheval ne sont pas entièrement satisfaits par le fourrage seul.
Risques liés à la sur-alimentation
Un excès de concentrés peut provoquer un large éventail de problèmes de santé. L'obésité figure parmi les conséquences les plus évidentes, augmentant les risques de fourbure, une affection très douloureuse des pieds. La sur-alimentation peut également perturber le métabolisme, favorisant ainsi l'apparition du Syndrome Métabolique Equin (SME) ou de la maladie de Cushing. De plus, un surplus d'énergie peut rendre le cheval excitable, nerveux et difficile à manipuler.
Pourquoi cette erreur est-elle si fréquente ?
Plusieurs éléments contribuent à la sur-alimentation en concentrés. La pression sociale, qui associe un cheval "en pleine forme" à un cheval corpulent, incite certains propriétaires à fournir davantage de concentrés qu'il n'en faut. Le manque de connaissance des besoins réels du cheval de loisir et la méconnaissance des apports caloriques des aliments constituent également des facteurs importants. Il est crucial de se rappeler que l'objectif n'est pas d'obtenir un cheval obèse, mais un cheval en bonne santé et capable de réaliser les activités qui lui sont demandées.
Comment éviter la sur-alimentation
- Évaluer la condition corporelle (échelle de Henneke) : Apprenez à évaluer visuellement et par palpation la condition d'engraissement de votre cheval en utilisant l'échelle de Henneke. Cette échelle, qui s'échelonne de 1 (maigre) à 9 (obèse), vous permet de déterminer si votre cheval doit perdre ou gagner du poids.
- Calculer les besoins énergétiques : Tenez compte de l'âge, du poids, du niveau d'activité et de l'état physiologique de votre cheval pour déterminer ses besoins énergétiques réels. N'hésitez pas à consulter un vétérinaire ou un nutritionniste équin pour obtenir de l'aide dans cette démarche.
- Choisir des concentrés appropriés : Privilégiez les aliments à faible concentration énergétique, riches en fibres (pulpe de betterave, son) et présentant un faible indice glycémique.
- Distribution raisonnée : Fractionnez les repas afin d'éviter les pics de glycémie. Pesez les rations afin de garantir une quantité adéquate. Utilisez des filets à foin à petites mailles pour ralentir la consommation de foin et prolonger la durée de mastication.
Négliger les besoins en minéraux et vitamines
Les minéraux et les vitamines sont des micronutriments essentiels qui jouent un rôle vital dans de nombreuses fonctions physiologiques, notamment le métabolisme, la croissance, l'immunité et la performance. Même un cheval de loisir a des besoins spécifiques en ces nutriments, et ceux-ci ne sont pas toujours couverts par le fourrage seul, en particulier si le sol est pauvre ou déséquilibré. Les besoins en nutriments spécifiques varient également selon le type de foin distribué et sa région de provenance.
Carences courantes
Les carences en sélénium, en cuivre, en zinc et en vitamine E sont particulièrement fréquentes chez les chevaux. Le sélénium et la vitamine E sont des antioxydants importants qui protègent les cellules contre les agressions. Le cuivre et le zinc sont indispensables à la formation des os, des cartilages et du système immunitaire. Une carence en ces nutriments peut induire des problèmes de croissance, une faiblesse musculaire, des problèmes de fertilité ou un affaiblissement du système immunitaire.
Pourquoi cette erreur est-elle fréquente ?
L'idée reçue selon laquelle le foin et les concentrés suffisent à combler tous les besoins du cheval est l'une des principales causes de cette erreur. La méconnaissance des particularités des sols et de l'alimentation locale contribue également au problème. Il est important de noter que la composition du foin varie en fonction de la région et de la saison. De plus, L'oubli de la complémentation pendant les périodes de mue, de gestation ou de lactation peut provoquer des carences.
Comment combler ces besoins ?
- Blocs de sel et de minéraux à disposition : Assurez-vous que votre cheval a en permanence accès à un bloc de sel et de minéraux adapté à ses besoins. Optez pour un bloc enrichi en sélénium, en cuivre, en zinc et en vitamine E.
- Compléments alimentaires ciblés : Si votre cheval manifeste des signes de carence ou si votre foin est de faible qualité, vous pouvez envisager de lui administrer un complément alimentaire ciblé. Demandez conseil à votre vétérinaire ou à un nutritionniste équin afin de choisir le complément le plus adapté.
- Alimentation équilibrée : Privilégiez les aliments enrichis en vitamines et en minéraux afin de vous assurer que votre cheval reçoit tous les nutriments dont il a besoin.
Oublier l'eau, un élément vital
L'eau est un élément indispensable à la vie, et le cheval ne fait pas exception. Elle exerce un rôle essentiel dans la digestion, la thermorégulation et la lubrification des articulations. Un cheval a besoin de s'hydrater en moyenne entre 20 et 40 litres d'eau quotidiennement, et ce besoin peut croître de manière significative en cas de chaleur intense, d'activité physique intense ou de lactation. Négliger l'apport en eau peut engendrer de graves problèmes de santé chez le cheval.
Importance de l'eau
L'eau est primordiale pour assurer une bonne hydratation, faciliter la digestion et l'assimilation des nutriments, réguler la température corporelle et lubrifier les articulations. Une déshydratation, même légère, peut entraîner une baisse de performance, une diminution de l'appétit et un risque accru de coliques. En hiver, l'eau contribue également à prévenir la constipation, car elle ramollit les crottins.
Pourquoi cette erreur est-elle si fréquente ?
La sous-estimation des besoins hydriques représente une erreur fréquente. Certains propriétaires estiment que le cheval s'hydrate suffisamment grâce à l'herbe ou au foin. Un accès difficile à l'eau (abreuvoir gelé en hiver, abreuvoir souillé) ou un goût désagréable peuvent également inciter le cheval à réduire sa consommation. Il est important de se souvenir que le cheval ne peut compenser un manque d'eau sur plusieurs jours.
Conséquences de la déshydratation
La déshydratation peut engendrer des conséquences graves sur la santé du cheval, notamment des coliques, une baisse de performance, une constipation, et dans les cas les plus sévères, une insuffisance rénale. Les signes de déshydratation se manifestent par une peau sèche et peu élastique, des muqueuses sèches et collantes, une diminution de la production d'urine et une léthargie.
Comment assurer un accès suffisant à l'eau
- Eau propre et fraîche à volonté : Veillez à ce que votre cheval dispose toujours d'eau propre et fraîche. Contrôlez la propreté des abreuvoirs et nettoyez-les régulièrement. En hiver, utilisez des abreuvoirs chauffants afin d'éviter le gel.
- Abreuvoirs adaptés : Choisissez des abreuvoirs faciles d'accès et adaptés au gabarit du cheval. Certains chevaux préfèrent s'abreuver dans un seau, tandis que d'autres apprécient davantage un abreuvoir automatique.
- Ajouter de l'eau au foin : Humidifier le foin peut accroître l'apport hydrique, notamment en hiver. Cette pratique se révèle particulièrement bénéfique pour les chevaux âgés ou présentant des problèmes dentaires.
- Surveiller la consommation : Observez votre cheval afin de déceler les signes de déshydratation. Si vous constatez une diminution de sa consommation hydrique, sollicitez l'avis de votre vétérinaire.
Négliger l'impact de l'activité physique sur l'alimentation
L'alimentation d'un cheval de loisir doit être ajustée à son niveau d'activité physique. Un équidé qui travaille régulièrement a besoin d'un apport énergétique supérieur à celui d'un cheval au repos. Les besoins énergétiques fluctuent considérablement en fonction de l'intensité et de la durée de l'activité, ainsi que du type de discipline pratiquée (promenade, dressage, saut d'obstacles, etc.).
Ajuster l'alimentation en fonction de l'activité
Un cheval qui effectue des randonnées régulières ou des séances de travail modérées requiert un apport énergétique plus important qu'un cheval qui ne sort que ponctuellement. Les muscles ont besoin de davantage de carburant pour fonctionner de manière optimale, et l'organisme requiert un apport supérieur en nutriments afin de réparer les tissus endommagés durant l'effort. Il est donc impératif d'ajuster la ration en fonction du niveau d'activité.
Pourquoi cette erreur est-elle si fréquente ?
La méconnaissance des dépenses énergétiques liées à l'effort constitue une erreur fréquente. Certains propriétaires sous-estiment l'impact des randonnées ou des séances de travail occasionnelles. Ils pensent que le foin seul suffit à combler tous les besoins du cheval, alors qu'en réalité, un apport supplémentaire en concentrés peut s'avérer nécessaire afin de maintenir un niveau d'énergie et de performance adéquat.
Comment ajuster l'alimentation ?
- Augmenter progressivement les rations de concentrés : En cas d'activité physique plus intense, augmentez graduellement les rations de concentrés afin de fournir au cheval l'énergie supplémentaire dont il a besoin.
- Choisir des aliments adaptés à l'effort : Optez pour des concentrés riches en glucides complexes (avoine, orge) pour une énergie durable. Les glucides complexes se caractérisent par une digestion plus lente que les glucides simples, permettant ainsi de maintenir une glycémie stable durant l'effort.
- Complémentation en électrolytes : La transpiration engendre une perte significative d'électrolytes (sodium, potassium, chlore). Compensez ces pertes par une complémentation en électrolytes afin de prévenir la déshydratation et les crampes musculaires.
- Récupération après l'effort : Fournir du foin et de l'eau après le travail afin de favoriser la récupération. Le foin apporte des fibres qui contribuent à restaurer la flore intestinale, et l'eau permet de réhydrater l'organisme.
Ignorer les particularités individuelles de chaque cheval
Chaque cheval est unique et présente des besoins nutritionnels spécifiques qui fluctuent en fonction de son âge, de sa race, de son état de santé et de son tempérament. Faire abstraction de ces particularités peut occasionner des carences, des problèmes de santé et une diminution de la performance. L'alimentation doit donc être adaptée aux spécificités de chaque individu.
Importance de l'individualisation
Il est indispensable de prendre en compte les caractéristiques individuelles de chaque cheval afin d'adapter son alimentation. Un poulain en pleine croissance nécessite un apport plus important en protéines et en minéraux qu'un cheval adulte. Un cheval âgé peut être sujet à des problèmes dentaires ou digestifs nécessitant une alimentation particulière. Un cheval atteint d'une pathologie chronique requiert un régime adapté à sa condition.
Exemples de particularités
Les besoins alimentaires varient considérablement d'un cheval à l'autre. Voici quelques exemples :
- Âge : Les poulains ont besoin d'une alimentation riche en protéines et minéraux pour une croissance optimale. Les chevaux âgés peuvent avoir besoin d'aliments plus faciles à digérer, enrichis en vitamines et minéraux pour compenser une absorption moins efficace.
- Race : Certaines races sont prédisposées à des problèmes spécifiques. Les poneys sont plus sujets à la fourbure, nécessitant une surveillance accrue de l'apport en sucres. Les Quarter Horses peuvent être sensibles à la PSSM (Myopathie à Stockage de Polysaccharides), requérant un régime pauvre en amidon.
- État de santé : Les chevaux atteints d'ulcères gastriques bénéficient d'une alimentation riche en fibres et faible en amidon. Les chevaux atteints du SME (Syndrome Métabolique Equin) ont besoin d'un régime faible en sucres et en amidon, avec un apport contrôlé en graisses.
- Tempérament : Un cheval nerveux et anxieux peut brûler plus de calories qu'un cheval calme, nécessitant un apport énergétique plus élevé. Inversement, un cheval calme et peu actif a tendance à prendre du poids facilement si son alimentation n'est pas contrôlée.
Les besoins varient également selon la gestation ou la lactation chez les juments. Ces périodes nécessitent un apport accru en énergie, protéines, vitamines et minéraux pour soutenir la croissance du fœtus ou la production de lait.
Comment individualiser l'alimentation ?
- Observation attentive : Surveillez l'état corporel, le comportement, les performances et l'état général de votre cheval. Tout changement peut signaler un problème alimentaire. L'état des crins et des sabots sont de bons indicateurs.
- Consultation professionnelle : Consultez votre vétérinaire ou un nutritionniste équin pour établir un plan alimentaire adapté aux besoins spécifiques de votre cheval.
- Adaptation continue : Ajustez l'alimentation au fur et à mesure de l'évolution de votre cheval. Les besoins peuvent changer avec l'âge, le niveau d'activité ou l'état de santé.
Manquer de régularité et de progressivité dans les transitions alimentaires
La régularité des repas et la progressivité des transitions alimentaires sont primordiales pour préserver une bonne digestion et un état de santé optimal chez le cheval. Tout changement brutal d'alimentation ou toute irrégularité dans les horaires des repas peut perturber la flore intestinale et provoquer des troubles digestifs.
L'importance de la régularité
Le cheval prospère avec un rythme alimentaire stable pour optimiser sa digestion. Des repas à heures fixes permettent de stabiliser le pH de l'estomac et de favoriser une flore intestinale équilibrée. Une alimentation irrégulière peut entraîner des troubles digestifs, une baisse d'appétit et du stress. Cela peut aussi impacter négativement le comportement du cheval, le rendant plus irritable ou anxieux.
Pourquoi cette erreur est fréquente
Le manque de temps est un facteur important. Les contraintes de la vie moderne rendent difficile le respect des heures de repas. Les changements de foin, de concentrés ou d'écurie peuvent également perturber la digestion du cheval, surtout s'ils sont effectués trop rapidement.
Les conséquences d'une alimentation irrégulière
Une alimentation irrégulière peut se traduire par des coliques, une perte d'appétit, du stress et une diminution de la performance. Le cheval peut également développer des comportements indésirables tels que le tic à l'ours ou le grignotage de bois par ennui ou stress.
L'importance des transitions alimentaires
Tout changement alimentaire (type de foin, concentrés, etc.) doit se faire graduellement sur plusieurs jours, voire semaines, pour laisser à la flore intestinale le temps de s'adapter. Un changement brusque peut déséquilibrer la digestion et provoquer des coliques, de la diarrhée ou un refus de l'aliment.
Comment assurer la régularité et des transitions douces
- Respectez les horaires : Tentez de respecter les heures de repas autant que possible, même pendant le week-end ou les jours fériés. Automatiser la distribution avec des distributeurs de foin ou de concentrés peut aider.
- Planifiez les transitions : Introduisez progressivement les nouveaux aliments en les mélangeant aux anciens, augmentant les proportions du nouvel aliment au fil des jours.
- Évitez les changements soudains : Limitez autant que possible les changements brusques d'environnement ou d'alimentation. Si un changement est inévitable, préparez le cheval en douceur.
Pour une alimentation optimale de votre cheval de loisir
Nous avons passé en revue les 7 erreurs les plus courantes dans l'alimentation du cheval de loisir. En évitant ces pièges, vous contribuerez à sa santé, son bien-être et sa longévité.
N'oubliez pas que l'alimentation est la base d'une vie saine pour votre cheval. Soyez attentif à ses besoins individuels, offrez-lui une alimentation équilibrée et consultez régulièrement votre vétérinaire ou un nutritionniste équin pour des conseils personnalisés. En suivant ces recommandations, vous profiterez pleinement de votre compagnon équin pour de nombreuses années.
Nutriment | Quantité |
---|---|
Matière Sèche (MS) | 2.0 - 2.5 kg |
Énergie Digestible (ED) | 12 - 14 MJ |
Protéines Brutes (PB) | 80 - 100 g |
Calcium (Ca) | 5 - 7 g |